C’est le jour du grand départ ! Notre avion décolle à 9h depuis l’aéroport de Toulouse-Blagnac, direction notre première étape : Paris. Nous y passerons 4 jours chez notre amie Clémentine. Nous volons avec Air France.
Le réveil pique un peu à 6h du matin, nous finissons les valises commencées la veille, nous avons pour objectif d’être à 8h du matin à l’aéroport, l’enregistrement des bagages fermant à 8h30. Nous réservons un Uber (à notre surprise, une Tesla, première découverte de cette voiture dont on entend tant parler) et finissons par arriver à l’aéroport à 8h05, avec un peu de bouchons sur la route.
Laetitia a la merveilleuse idée de décider que devant le comptoir d’enregistrement des bagages, c’est le moment de modifier le code de verrouillage de sa valise toute neuve. Elle commence à changer les chiffres, mais la procédure de changement du code rate et la valise se verrouille sur une code inconnu ! Nous essayons de retrouver le code, les minutes passent, il est 8h20, tant pis, nous décidons de laisser tomber et de verrouiller la valise avec un des cadenas que Gaël a sur son sac à dos. Nous verrons ça plus tard.
Nous nous mettons un peu à courir, car l’embarquement commence à 8h30 ! Heureusement, il n’y a pas d’attente à la sécurité. A 8h35, nous avons passé la sécurité, mais notre appareil photo est mis de côté. Gaël décide de rester pour le récupérer après le contrôle, les minutes passent, le stress montent un peu. Laetitia part en première pour la porte d’embarquement, au moins elle pourra dire au personnel de bord de nous attendre ! Heureusement, Gaël arrive quelques minutes après. Ce voyage commence par de la course ! A 8h50, nous embarquons.
Un petit avion à hélice attend derrière nous pour le décollage.
L’avion part à l’heure pile, nous nous envolons au dessus de Toulouse direction l’aéroport d’Orly. Depuis le hublot, on peut apercevoir les bouchons toulousains. Vers la moitié du vol, on nous sert pendant le vol une collation, un petit palet breton, et une boisson.
Laetitia est en pleine lecture du premier tome de la saga Dune de Frank Herbert.
Nous traversons une mer de nuage en arrivant sur Paris.
Notre avion atterrit pile à l’heure, 10h20. Nous récupérons nos valises, puis direction chez notre amie Clémentine, qui habite à Nanterre. Nous en avons pour environ une heure depuis Orly.
Pas de doute, nous sommes bien à Paris, il y a des travaux partout !
Nous arrivons chez nos amis sans problème (la RATP fonctionnerait-elle correctement pour une fois ?). Ils travaillent tous les deux, alors nous les laissons tranquille après le déjeuner pour faire les touristes.
Avant de partir, nous réussissons à débloquer la valise de Laetitia, elle va pouvoir utiliser le TSA de sa valise comme prévu.
Direction la Défense, le quartier d’affaires de Paris, à 15 minutes à pied de chez Clémentine.
Gaël, qui vit la « corporate life », se prend à s’imaginer travailler dans les grandes tour qui nous entourent. On s’amuse à regarder les passants, quelques touristes mais surtout pas mal de salariés, en costume et tailleur.
Le ministère de l’écologie se trouve à la Défense, une grande tour en verre qui doit bien utiliser la climatisation en été… Pas très écolo, tout ça !
La grande arche de la Défense.
Nous allons presque jusqu’au bout du quartier, et nous pouvons apercevoir l’Arc de Triomphe dominant les Champs Elysées, à plusieurs kilomètres de là.
Ce sera notre destination ! Direction la plus belle avenue du monde. Nous aimerions acheter des macarons chez Ladurée ou Pierre Hermé, le célèbre chef pâtissier reconnu pour ses macarons.
La boutique de Pierre Hermé est fermée pour rénovations, on peut seulement en acheter pour dégustation dans le petit salon de thé à côté. Nous nous mettons en quête de Ladurée.
Horreur, une foule immense attend pour rentrer dans le magasin ! Nous faisons une croix sur nos macarons, nous n’allons pas attendre des heures pour acheter des gâteaux (qu’on trouve aussi à l’aéroport d’ailleurs).
Finalement, nous passons devant le drugstore du Publicis, cinéma situé tout en haut de l’avenue des Champs Elysées, qui vend des macarons Pierre Hermé. Enfin, nous trouvons nos gâteaux !
Nous trouvons également une bonne bouteille de gin. 5L !
Après cette bonne marche, nous rentrons. Mas avant, petite photo de l’Arc de Triomphe.
Les gens se mettent en danger en plein milieu de rond-point de l’Etoile pour avoir la photo parfaite. C’est hallucinant.
Le soir venu, il est temps de déguster nos petits macarons. Nous nous attendons à quelque chose d’exceptionnel, ce sont des Pierre Hermé après tout ; mais nous sommes un peu déçu, la coque est sèche. Le goût en revanche est très bon et ils ne sont pas trop sucrés (chose difficile avec un macaron !).
Nous passons la soirée avec nos amis à rattraper de longs mois sans se voir.
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